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Sabatier, Victor François (1825-1891)

Architecte formé aux Beaux-arts, élève de Decamps (Bellier 1882, II, p. 444-445) ; nommé surnuméraire le 21 février 1844 au chantier de Sainte-Geneviève ; le 24 juillet 1845, inspecteur des travaux au ministère des Affaires étrangères ; inspecteur et premier dessinateur de l’Agence de la réunion des Tuileries au Louvre, sous la direction de Visconti puis Lefuel (Isselin) ; architecte diocésain de Nice (1861), Fréjus (1884) puis Ajaccio (1889) (Répertoire des architectes diocésains [RAD]). Sous-inspecteur aux travaux du ministère des Affaires étrangères, rue de l’Université 118 (Annuaire 1845-1846Liste des membres de la Société centrale, p. 324).

Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 16 verso, 52 verso.

Saint-Denis (maison de santé du faubourg)

Maison royale de santé, rue du Faubourg Saint-Denis. Cette maison est destinée à recevoir des malades qui paient : dans les salles communes de 12 à 14 lits, 3 francs par jour ; dans les chambres de 3 à 4 lits, 4 francs  ; dans les chambres particulières à 1 lit (pour femmes), 5 francs ; dans les chambres particulières à 1 lit (pour hommes), 6 francs. (Almanach 1843, p. 1009).

Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 31 verso, 104 verso.

Sainte-Barbe (collège)

Voir Lanneau de Marey (Victor de), Labrouste (Alexandre) et Quicherat.

Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 4 verso, 5, 6, 7 verso, 8 verso, 10, 11, 18, 20, 24, 26, 27, 28, 28 verso, 29, 32, 32 verso, 33, 36 verso, 40, 44, 44 verso, 49, 50, 53, 54, 55, 58 verso, 60 verso, 61, 68, 74, 81, 87, 98, 98 verso, 109, 111, 111 verso, 126 verso, 132, 132 verso, 135 verso, 144, 150 verso, 152, 156 verso, 158 verso, 172 verso.

Cité(e) dans les notes de l'édition du Journal des travaux au(x) folio(s) : 2, 4 verso, 8, 14 verso, 18, 20 verso, 28 verso, 32, 74, 81.

Sainte-Barbe (société de)

Société anonyme fondée par ordonnance royale du 17 mars 1841 aux fins de permettre la reconstruction du collège ; Charles Paravey assurait la présidence de son conseil d’administration.

Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 56, 56 verso, 59 verso, 81.

Cité(e) dans les notes de l'édition du Journal des travaux au(x) folio(s) : 8.

Sainte-Marguerite (hôpital)

Annexe de l’Hôtel-Dieu instituée le 1er février 1840 au faubourg Saint-Antoine (avec entrée rue de Charenton, n°s 85 bis à 93), dans l’ancien hospice des Enfants trouvés réaffecté aux malades adultes après le transfert des orphelins rue d’Enfer ; converti en 1854 en hôpital d’enfants pour désencombrer l’hôpital des Enfants-Malades de la rue de Sèvres et desservir les quartiers populaires de l’est parisien ; devenu en 1880 l’hôpital Trousseau. Hôtel-Dieu annexe, rue de Charenton : les malades y sont reçus comme à l’Hôtel-Dieu. Cet hôpital est desservi par les dames religieuses de Saint-Augustin. (Almanach 1843, p. 1007). Annexe de l’Hôtel-Dieu, rue de Charenton 89 (300 lits), ouvert le 1er février 1840, fondé par la présidente d’Aligre en 1669, desservi par les Dames Augustines. (Manuel des œuvres et institutions de charité de Paris, Paris, Vve Poussielgue-Rusand, 1852, in-18, p. 147).

Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 177.

Saint-Firmin (colonie de)

L’agronome et économiste Gabriel Bazin fondait en 1845 au Mesnil-Saint-Firmin une ferme-école ou « colonie agricole », association pour enfants trouvés tenue par la Société de Saint-Vincent-de-Paul qui y formait les orphelins aux travaux des champs. Gabriel Bazin, maire du Mesnil-Saint-Firmin de 1820 à 1862, était président de la Chambre des Arts et Manufactures de Beauvais (Picardia, l’encyclopédie picarde). La Société d’adoption des enfants trouvés, abandonnés ou orphelins pauvres[...] présidée par M. le comte Molé, avait pour but de recueillir, patronner et former aux travaux des champs ces malheureux enfants. [...] Il fallait un établissement ; la société, sachant ce que coûte une telle fondation, a préféré de choisir un établissement tout fondé : depuis 1828, un des propriétaires du département de l’Oise, M. Bazin, avait créé sur son domaine du Mesnil-Saint-Firmin une petite colonie de ces pauvres enfants ; la société a adopté cette colonie et y a transporté ses patronnés. Le nombre des jeunes colons s’est trouvé de la sorte porté à 88. Ils sont placés sous la direction des frères agronomes de Saint-Vincent-de-Paul, pieuse association de laïques. (Dufau, p. 118-119). La Société des amis de l’enfance s’est formée dès l’année 1828 pour venir au secours des jeunes garçons pauvres. Les enfants adoptés dès l’âge de 8 ans sont placés dans des pensions où ils reçoivent l’instruction nécessaire à l’exercice d’une profession industrielle ; à 13 ans, ils entrent ensuite dans des ateliers d’apprentissage. [...] Les jeunes garçons orphelins sont envoyés à la colonie de Saint-Firmin, située au Merle, près Breteuil (Oise) ; ils sont appliqués aux travaux de l’agriculture, et reçoivent chaque jour des leçons d’instruction primaire. 125 jeunes garçons sont élevés en ce moment. La souscription annuelle est de 6 francs. (Almanach 1843, p.  1022). La première colonie, essentiellement agricole, fondée en France pour les Enfants trouvés, est celle du Ménil-Saint-Firmin, dans l’Oise, à quatre kilomètres de Breteuil. Voici quelle a été la pensée systématique de l’honorable M. Bazin, propriétaire de ce domaine et agriculteur-manufacturier, qui, depuis quinze ans, se livre à de patientes études pratiques sur les moyens d’élever avec fruit et économie ces pauvres créatures, dans le double intérêt de l’enfant et de la société. [...] Le domaine de Merle qui appartient à la colonie, et la terre de Saint-Firmin, pourront occuper 300 enfants ; les orphelins sont vêtus, couchés, nourris comme au village, presque dans des conditions de pauvreté ; on est ému en voyant leur directeur, le respectable abbé Caulle, se soumettre au dur régime des colons, vivant avec eux, travaillant avec eux, les instruisant, ne les quittant jamais. [...] La Société d’adoption des enfants abandonnés, présidée par le comte Molé, vient d’adopter Saint-Firmin comme colonie modèle. (Annuaire de l’économie politique, p. 199-200). Voir aussi, par le baron Adolphe Watteville du Grabe, inspecteur général des établissements de bienfaisance de Paris : Du sort des enfants trouvés et de la colonie agricole du Mesnil-Saint-Firmin, avec un appendice contenant des documents sur les institutions étrangères et des notes statistiques, Paris, P. Dupont, 1846, 45 p. et Premier compte rendu de la société d’adoption pour les enfants trouvés, abandonnés et orphelins pauvres (1843-1845), Colonie agricole du Mesnil-Saint-Firmin, près Breteuil (Oise), s.l., s.n., 1845. Voir enfin l’article « Colonie de Saint-Firmin (Oise) », du Dictionnaire d’économie charitable  [tome 7 de l’Encyclopédie théologique], Paris, Migne, 1856. Labrouste en devint l’architecte en 1845 (Archives de l’Académie d’architecture, Fonds Henri Labrouste, D. 1976, 228 et 299).

Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 52, 79, 86 verso, 104, 108, 109, 110, 113 verso, 118 verso, 148, 157, 163 verso.

Saint-Georges, Pierre Thomas Marie (dit Marie) de (1795-1870)

Avocat et homme politique ; député de la gauche dynastique à Paris (1842, 1846) ; membre du Gouvernement provisoire avec le portefeuille des Travaux publics, organisateur des Ateliers nationaux ; membre de la Commission exécutive ; président de l’Assemblée, ministre de la Justice du gouvernement Cavaignac (juillet-décembre 1848), ministre de l’Instruction publique et des cultes par intérim (décembre 1848) ; député de Marseille (1863-1869) (Dezobry ; Dict. des ministres). rue Neuve-des-Petits-Champs n° 95 (Almanach 1843, p. 106), rue Neuve-des-Petits-Champs 64 (Almanach 1846, p. 945).

Cité(e) dans les notes de l'édition du Journal des travaux au(x) folio(s) : 121.

Saint-Leu d’Esserent (Oise)

Commune de l'Oise. Voir l’entrée Saint-leu dans le Glossaire des termes techniques.

Saint-Nicolas (établissement de)

Créée à Paris en 1827 par l’abbé de Bervanger, cette école-atelier située à Vaugirard (actuel n° 90 de la rue du même nom) vit ses statuts publiés en 1836 sous le titre Règle et constitution des Frères et de l’Établissement de Saint-Nicolas. Elle accueillait à partir de 13 ans, moyennant 30 F de pension annuelle, des enfants orphelins ou abandonnés auxquels des ouvriers qualifiés apprenaient les métiers de la petite industrie. Depuis 1834, "école Saint-Nicolas", jadis dirigée par les Frères des Écoles chrétiennes ; elle recevait des enfants âgés de huit à douze ans qui, sous le Second Empire, payaient une pension mensuelle de 2 francs s’ils étaient orphelins et 25 francs s’ils ne l’étaient pas. (Hillairet). L’institution de Saint-Nicolas est située rue de Vaugirard, avec une annexe à Issy. Une mansarde du faubourg Saint-Marceau, où M. l’abbé de Bervanger réunit en 1827 sept enfants, en fut le berceau. L’établissement, bien qu’il ait eu à traverser des mauvais jours, compte actuellement 750 enfants, admis de huit à douze ans, et pour lesquels il est payé, soit par les parents ou protecteurs, soit par les sociétés de bienfaisance, 20 ou 25 francs par mois ! Le but de l’institution c’est de joindre l’apprentissage d’un métier aux études élémentaires, et principalement à l’étude de la religion, sans laquelle un ouvrier ne trouve pendant sa vie ni règle pour sa conduite, ni consolation dans ses fatigues, ni espérance pour son avenir. J’emprunte cette phrase à un petit livret contenant la règle et les constitutions de l’œuvre... (Dufau, p. 108-110). Rue de Vaugirard 112 ; succursale à Issy, Grande-rue 36. L’Établissement de Saint-Nicolas, fondé par Monseigneur Bervanger, est destiné aux enfants pauvres auxquels leurs protecteurs veulent donner une éducation chrétienne et l’instruction nécessaire aux classes ouvrières, et à ceux que leurs familles ne peuvent faire élever qu’à un prix très inférieur à toutes les pensions et institutions de Paris. La pension est de 20 francs par mois pour les orphelins de père et de mère, et de 25 francs pour les autres enfants. [...] Pour faire entrer un enfant, il faut s’adresser à M. Le Directeur, tous les jours jusqu’à midi, et apporter l’extrait de baptême de l’enfant ou, s’il est orphelin, l’acte de décès de ses parents. Il a été fondé en 1840 une succursale de Saint-Nicolas à l’ancien château d’Issy ; les enfants y sont reçus aux mêmes conditions. Les deux établissements reçoivent sept cents enfants. (Manuel des œuvres et institutions de charité de Paris..., Paris, Vve Poussielgue-Rusand, 1852, in-18, p.  29-30).

Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 185.

Saint-Nom-la-Bretèche (Yvelines)

Commune des Yvelines. Voir l’entrée Saint-nom, saint-non dans le Glossaire des termes techniques.

Cité(e) dans les notes de l'édition du Journal des travaux au(x) folio(s) : 61.

Salvandy, Narcisse Achille de (1795-1856 ; comte)

https://www.idref.fr/061183059

Officier puis journaliste ; conseiller d’État (1828) ; député de l’Eure ; ministre de l’Instruction publique (1837-1839, puis 1845-1848), il renforce l’enseignement des langues étrangères, crée plusieurs chaires de Droit et de Sciences, crée le Conseil de l’instruction publique et l’École française d’Athènes, réorganise l’École des chartes ainsi que les études médicales et renforce les moyens de la Bibliothèque royale. Membre de l’Académie française (1835) et de l’Académie des sciences morales et politiques (Dezobry). Rue Cassette n° 30 (Almanach 1843, p. 107).

Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 59 verso, 74, 86.

Sauvanet

Maçon.

Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 137 verso, 156, 156 verso, 165.

Savoyen, B.

Premier commis de George.

Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 32 verso, 42 verso, 44 verso, 47, 49, 50, 50 verso, 51, 53, 54, 54 verso, 56, 56 verso, 57, 57 verso, 58 verso, 59, 60 verso, 61.

Senlis (Oise)

Commune de l’Oise. Voir l’entrée Senlis (liais de) dans le Glossaire des termes techniques.

Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 120.

Sept Voies (rue des)

Actuelle rue Valette, rebaptisée en 1879. Commence aux rues des Carmes n° 29 et Saint-Hilaire n° 1 ; finit au carré Sainte-Geneviève n° 12 et à la place du Panthéon n° 2. Le dernier impair est 35 ; le dernier pair, 18. Sa longueur est de 173 mètres. 12e arrondissement, quartier Saint-Jacques. [...] Éclairage au gaz (Compagnie parisienne). [...] Au n° 18 était la principale entrée du collège de Reims [dont les bâtiments vendus les 8 messidor an IV, 2 mai et 8 août 1807, ont été réunis au collège Sainte-Barbe]. (Lazare, p. 682).

Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 2, 4 verso, 5, 6 verso, 7, 7 verso, 8, 11 verso, 14, 16, 16 verso, 18, 20, 20 verso, 22, 35, 40, 46, 46 verso, 47, 47 verso, 48, 48 verso, 49 verso, 54, 57, 57 verso, 58, 58 verso, 59, 59 verso, 60, 60 verso, 61, 62, 74, 74 verso, 76 verso, 78, 84, 84 verso, 85, 86, 86 verso, 87, 87 verso, 89, 94, 96, 96 verso, 97, 98, 101, 102, 102 verso, 103, 103 verso, 106 verso, 107, 108, 108 verso, 109, 109 verso, 110, 110 verso, 111, 111 verso, 112, 118, 118 verso, 124, 127, 129, 130, 131, 131 verso, 135 verso, 138, 140, 140 verso, 141, 149, 150 verso, 152 verso, 156, 163 verso, 166 verso, 175, 178.

Cité(e) dans les notes de l'édition du Journal des travaux au(x) folio(s) : 18, 102 verso.

Sibour, Marie Dominique Auguste (1792-1857)

https://www.idref.fr/028874978

Évêque de Digne (1840) puis archevêque de Paris (août 1848, successeur de Monseigneur Affre mortellement blessé sur les barricades de juin)  ; animé d’idées libérales, il institue des conférences théologiques publiques, développe les études religieuses, multiplie églises et écoles chrétiennes dans les quartiers populaires ; mort assassiné dans l’église Saint-Étienne-du-Mont par un prêtre qu’il avait interdit (Dezobry).

Cité(e) dans les notes de l'édition du Journal des travaux au(x) folio(s) : 145.

Silly

Lieu non identifié en région parisienne où l’on extrayait de la pierre. Voir l’entrée Silly (pierre de) dans le Glossaire des termes techniques.

Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 79.

Simonet

Fondeurs (père et fils) qui réalisent notamment, en 1852, les portes latérales du Panthéon sur commande de l’architecte Constant-Dufeux. Simonet rue de la Perle 24 (Sageret 1841,  Rubrique Fondeurs en cuivre et en fer, p. 74). Jules Charles Simonet, fils du fondeur, deviendra un élève de Labrouste (Pierre Saddy,  Henri Labrouste architecte 1801-1875,  Paris, Caisse nationale des Monuments historiques et des sites, 1977,  p. 4 ; Bellier 1882, II, p.  508). Cité par Daumas  (p. 144) parmi les entreprises parisiennes qui disparaissent vers 1860 : Simonet, fondeur de cuivre rue de la Perle, quartier des Archives.

Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 152 verso, 160, 162 verso, 163, 164, 180, 180 verso, 181, 182, 182 verso, 185 verso, 188.

Souty, Pierre Prosper

Doreur en bâtiments, meubles et bordures ; grand choix de bordures renaissance, gothiques et rocailles, de modèles nouveaux et variés ; exposition, location, vente de tableaux de l’École moderne, p. du Louvre 18, en face de la colonnade (Sageret 1841, p.  61) ; Souty, place du Louvre 18 (Cambon 1841, Rubrique Marchands de couleurs, p.  504) ; doreur des appartements, pl. du Louvre 18 (ibidem, rubrique Entrepreneurs des bâtiments de la Couronne, p. 224). Doreur sur bois, installé 18 place du Louvre (Exposition 1844, Catalogue officiel n°  3712, « cadres dorés » : mention Honorable) ; M. Pierre-Prosper Souty, à Paris rue du Louvre n° 18. La maison Souty, connue de père en fils depuis 1802 [...] a joint depuis 1844 à son établissement de dorure, un atelier de sculpture et de carton-pierre. (Exposition 1849, III, p. 400 : médaille de bronze). Marque d’atelier imprimée sur une étiquette : A la grande Fabrique / Place du Louvre, 16 et 18, en face de la Colonnade / P. Souty Fils, / doreur du Ministère de l’Intérieur et de la / ville de Paris. / tient boutique et Magasin de Bordures dorées, de Profils variés / gothiques et grecques, Cadres en bois des îles ; encadre, nettoie / restaure, vernit les Tableaux, Estampes, Dessins et Miniatures ; / Articles pour le dessin, la peinture à l’huile, à l’aquarelle, et / la mi- / niature. / Exposition, Vente, location de Tableaux modernes. / A Paris (base Palissy). Rue du Louvre 8 et rue du Chemin de Versailles 4 (Bellier 1861).

Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 164, 166 verso, 167, 167 verso, 179.

Souze

Entrepreneur de serrurerie, rue des Amandiers-Sainte-Geneviève 16 (Sageret 1841, p. 191).

Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 61.