Ganneron
Commis de Calla ? M. Ganneron, rue Papillon no 8 à Paris
présente une scie à receper qui a servi à l’exécution
des fondations du pont de chemin de fer de Boulogne sur la Canche
(Exposition 1849,
II, 105, rubrique Comble en fer, pont en fonte
: médaille de bronze).
Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 102, 105, 105 verso, 106, 109, 110 verso, 111, 112, 112 verso, 118 verso, 120 verso, 123, 126, 126 verso, 134 verso, 146 verso, 148, 153, 154, 159, 159 verso, 161, 174 verso, 178, 180 verso.
Garnaud, Émile François (1821-?)
M. Émile-François Garnaud, fabricant de terres cuites, rue Saint-Germain-des-Prés no 9 à Paris. M. Garnaud expose pour la première fois diverses pièces en
terre cuite imitant la pierre, et qu’il nomme pierre artificielle, propre à la
décoration des maisons particulières et des édifices. [...] Ces
objets sont fabriqués avec la terre de Montereau ; c’est la même composition que
celle de M. Renneberg, avec cette différence
qu’il remplace le moellon par des coquilles d’huîtres
(Exposition 1849,
II, p. 847 : médaille de bronze). Garnaud, Paris et Choisy (Seine) : pierre artificielle en terre cuite blanche
pour ornementation extérieure et pour restauration des anciens édifices,
etc.
(Exposition 1851,
VII, p. 32). Garnaud fils, propriétaire du brevet
de Mme Veuve Bex, sans garantie du gouvernement, et fabricant de produits en terre
cuite dits biscuits, de couleurs variées, ayant toute la solidité et le ton de la
pierre dure, pour carrelages mosaïques les plus solides et les plus riches :
ornements et incrustations dans les bâtiments applicables à tous genres de décors
d’architecture, objets d’art de grande dimension et tous autres de fantaisie, etc.
Le tout à des prix au-dessous de ceux des ornements ordinairement employés dans la
décoration, ce qui est dû au mode de moulage particulier à ce genre de produit ;
revêtements pour soubassements, murs d’appui et autres parties à l’extérieur des
édifices et habitations qui doivent être inaccessibles à la gelée et aux
intempéries, qualités inhérentes aux produits de M. Garnaud. Usine à
Choisy-le-Roi (Seine) ; dépôt au bureau, rue
Saint-Germain-des-Prés 9.
(Annuaire 1845-1846,
Liste des fabricants de mosaïques, p. 336).
Garnaud François-Émile, né en 1821, fabricant de terre cuite, à Choisy-le-Roi
; construction monumentale, lucarnes, encadrements de croisées, piédestaux,
balustrades, statues, etc. ; médaille de 2e classe à
l’Exposition universelle de 1855
(Téchener 1861,
p. 75).
Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 154 verso, 156 verso, 157.
Garnier-Pagès, Louis-Antoine (1803-1878)
https://www.idref.fr/073937223
Homme politique ; député de l’Eure (1842), l’un des promoteurs de
la campagne des banquets ; ministre des Finances du Gouvernement provisoire, maire de
Paris (24 février - 5 mars 1848), membre de la Commission exécutive, député de la
Seine ; républicain fidèle, réélu par la Seine au Corps législatif de 1863 à 1870 ;
membre du gouvernement de la Défense nationale (1870) ; auteur d’une Histoire de la Révolution de 1848 (1860-1872) (Vapereau 1880 ; DBF ; Dict. des ministres). Rue de Rivoli no 22
(Almanach 1843,
p. 103).
Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 188 verso.
Gau, François Christian (1790-1853)
Architecte d’origine allemande, naturalisé français en 1825 ;
élève de Debret et Lebas aux
Beaux-arts ; architecte de l’Administration des hospices, rue de Trévise no 5
(Almanach 1843,
p. 1005) ; architecte de la Banque de France (1840) puis de la mairie du deuxième
arrondissement (1844-1846) ; intervenu sur de nombreux édifices publics ou religieux,
dont l’église Sainte-Clotilde (1845-1853), les prisons de la Roquette et de Bicêtre ;
membre des Académies de Londres et Munich (Bauchal ; DBF). Architecte de la Banque de France, rue de la Victoire 28
(Annuaire 1845-1846,
Liste des membres de la Société centrale, p. 310).
Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 113.
Gaujac (1766-1846)
Peut-être sic pour
François Tranquille Gauché, architecte, élève de Wailly et de
l’Académie de Paris ; constructeur de l’abattoir de Grenelle (1808-1810) et de
l’entrepôt des vins (1811-1842) ; successeur de Vaudoyer au marché des Carmes (1825-1829), de l’établissement
des Jeunes aveugles ; membre honoraire du Conseil des bâtiments civils de 1819 à sa mort ;
professeur suppléant de Durant à l’École polytechnique (Bellier 1882 ; Bauchal ; DBF). Gauché, architecte expert près les tribunaux, rue du Battoir-Saint-André 10
(Annuaire 1845-1846,
Liste des membres de la Société centrale, p. 316) ; architecte-vérificateur
(ibidem, Liste des architectes-experts commis
le plus ordinairement par les tribunaux dans le ressort de la Cour royale de
Paris, p. 327).
Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 84 verso.
Génin, François (1803-1856)
https://www.idref.fr/03025535X
Philologue ; normalien (1821), professeur de belles-lettres ; membre du Comité de la langue et de la littérature françaises, dédié à la publication de textes inédits ; journaliste militant du parti libéral : entré au National sur recommandation de son ami Littré (1837), collaborateur du Temps, de la Revue de Paris, la Revue des Deux-Mondes, la Revue Indépendante et L’Illustration ; chef de la division des Belles-lettres au ministère de l’Instruction publique (1848-1852) ; musicien talentueux (Dezobry ; DBF).
Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 188 verso.
Georgery
Entrepreneur de dallages et marbres ; Georgeri, r. Vanneau 22
(Sageret 1841,
p. 105) ; Hersent et Georgery, boulevard des Invalides 7 et rue Royale-Saint-Honoré 18
(ibidem,
p. 106 ; également recensés à la même adresse en tant
qu’ornemanistes-sculpteurs, p. 133).
Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 154, 154 verso, 165 verso, 166, 170, 175, 180, 183 verso, 187 verso, 188.
Georges
Autre(s) forme(s) du nom : George
Maçon. Propriétaire rue des Cholets d’une maison qu’il démolit après expropriation. Sageret, (p.
96) signale cinq maçons portant ce nom, dont Léonard
George, Grande-Rue-Verte 11 (adjudicataire du barraquement pour le campement des
troupes aux travaux des fortifications
en 1841). Ce même personnage est domicilié rue de Miromesnil 18 par Cambon, qui évoque aussi George J., rue du Ponceau 33
(Cambon 1841,
p. 628). Voir aussi George Léonard, né en 1796, entrepreneur de maçonnerie, rue de l’Ouest 40
(Téchener 1861,
p. 77).
Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 8 verso, 14 verso, 28 verso, 29 verso, 30, 30 verso, 31 verso, 32, 32 verso, 34, 34 verso, 35, 36, 36 verso, 40, 42 verso, 44 verso, 46, 46 verso, 47, 47 verso, 48, 48 verso, 50 verso, 51, 52 verso, 53, 54 verso, 56, 56 verso, 57, 57 verso, 58, 58 verso, 59, 59 verso, 60, 60 verso, 68, 74.
Cité(e) dans les notes de l'édition du Journal des travaux au(x) folio(s) : 42 verso.
Gilbert
Bardeur. Un bardeur de ce nom, prénommé Jean-Baptiste, est attesté sur le chantier du Louvre entre 1841 et 1853.
Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 79 verso.
Gilbert, Émile Jacques (1793-1874)
https://www.idref.fr/161839835
Architecte formé à Polytechnique, puis aux
Beaux-arts par Vignon ; grand prix de Rome
(1822) ; nommé architecte de la Ville de Paris, puis architecte en
chef de la première division des travaux de la Préfecture de la
Seine : achèvement de l’Arc de triomphe de l’Étoile (1830), hospice de
Charenton (1838), prison de la Nouvelle-Force (1842-1849), Morgue de la Cité ;
initiateur de la préfecture de police et de l’Hôtel-Dieu (1874) ; président du Conseil général des bâtiments civils en 1833, professeur aux
Beaux-arts (1845), membre fondateur puis président de la
Société centrale des architectes (1854-1864), membre (1853, au
fauteuil de Fontaine) puis président (1860) de
l’Académie des beaux-arts (Vapereau 1880 ; Dezobry ; DBF). Gilbert aîné, rue du Faubourg-Poissonnière 35, Gilbert jeune, rue du Faubourg-Poissonnière 31
(Cambon 1841,
p. 207). Gilbert, architecte à Paris, rue de Provence 56
(Almanach
1843, p. 1001). Gilbert jeune, Gilbert aîné, rue du Faubourg-Poissonnière 40 bis
(Annuaire 1845-1846,
Liste des membres de la Société centrale, p. 317).
Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 114.
Gisors, Henry Alphonse de (1796-1861 ou 1866)
Autre(s) forme(s) du nom : Degisors
https://www.idref.fr/162300018
Formé à l’École royale d’architecture, élève
de son oncle Guy de Gisors et de Percier ;
dessinateur-archiviste (1817) puis architecte (1823) au Conseil des bâtiments civils ; architecte de la
Chambre des Pairs au Palais du Luxembourg (1834) ; architecte officiel du
ministère de l’Instruction publique : architecte en titre de la
bibliothèque Sainte-Geneviève (en 1836, le ministre de
l’Intérieur Montalivet lui demande un premier projet de
construction) et de l’Observatoire de Paris, constructeur de l’École normale
supérieure (1842) ; membre de l’Académie des beaux-arts (successeur
d’Achille Le Clère, 1854) ; inspecteur des Bâtiments
civils (Dezobry ; DBF). Rue de Vaugirard 19
(Cambon 1841,
p. 210) ; Cour-des-Fontaines, au Luxembourg
(Sageret 1841,
p. 10 ; Annuaire 1845-1846,
Liste des membres de la Société centrale, p. 317). Rue de Vaugirard 10
(Bellier
1861).
Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 22 verso, 74, 172 verso, 173 verso, 185.
Gourguechon, Lou Norbert
M. Lou-Norbert Gourguechon, rue de Port-Royal no 16 à Paris. Expose un échantillon de parquet [...] scellé à
bain de bitume, sans rainure ni languette, à plat-joint. Le prix est très
modéré.
(Exposition 1849,
III, p. 442 : mention Honorable).
Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 186.
Gourlier, Charles Pierre (1786-1857)
https://www.idref.fr/067058302
Graveur et architecte, élève d’Alavoine et
Huyot puis des Beaux-arts où il professe à
partir de 1837 ; enseignant également à l’École centrale des arts et
manufactures ; membre (1819), puis inspecteur général adjoint (1833) du
Conseil des bâtiments civils, chargé de
la comptabilité ; membre fondateur de la Société centrale des
architectes (1840) ; co-auteur, avec Biet
et Grillon, du Choix
d’édifices publics projetés et construits en France depuis le commencement du
XIXe siècle, 1825-1852, 3
vol. (DBF). Membre
honoraire de la Société d’encouragement pour l’industrie nationale. Architecte, inspecteur général, rue de Seine 6
(Almanach 1843,
p. 980). Membre et secrétaire du Conseil des
bâtiments civils, inspecteur général, rue des Beaux-Arts 2
(Annuaire 1845-1846,
Liste des membres de la Société centrale, p. 317). Quai Malaquais 3
(Bellier
1861).
Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 52 verso, 79, 183.
Grégoire
Économe du collège Henri-IV (Almanach 1843, p. 959).
Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 33 verso.
Grillon, Edme Jean Louis (1786-1854)
https://www.idref.fr/155532561
Architecte formé aux Beaux-arts par
Labarre, Debret et
Lebas, second prix de Rome (1809) ; sous-inspecteur à
l’abattoir du Roule (1811), inspecteur du Palais des beaux-arts et de l’Opéra (1820) ;
architecte du gouvernement (1825), membre puis inspecteur général du Conseil des Bâtiments civils (1839), inspecteur
des travaux d’État dans les départements (1843) ; constructeur de l’entrepôt des
Douanes (avec Gréterin, 1833-1840) et de plusieurs usines et hôtels ; conseiller
municipal de Paris (1834-1848) ; co-auteur, avec Biet
et Gourlier, du Choix
d’édifices publics projetés et construits en France depuis le commencement du XIXe siècle, 1825-1852, 3 vol. (Bauchal ; DBF ; RAD). Boulevard Saint-Denis 22 bis
(Annuaire 1845-1846,
Liste des membres de la Société centrale, p. 317).
Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 131.
Grouvelle, Philippe (1799-1866)
https://www.idref.fr/081167008
Élève du chimiste Thénard ; ingénieur civil, spécialisé dans le
chauffage et la ventilation ; créateur d’une entreprise (1829) qui subsista jusque
dans les années 1960 et fut chargée d’installer le chauffage dans de nombreux
monuments (dont le Petit Palais, l’hôtel de la Monnaie, la Bourse) ; auteur d’ouvrages
scientifiques (dont Le Guide du chauffeur et du propriétaire de
machines à vapeur ou Essai sur l’établissement, la conduite et l’entretien des
machines à vapeur ; précédé de principes pratiques sur la construction des
fourneaux,, qui connut quatre éditions entre 1830 et 1859), collaborateur du
Dictionnaire des arts et manufactures et des Annales du génie civil
(DBF). Grouvelle, ingénieur, Beaux-Arts 2
(Cambon 1841,
p. 217) ; médaille d’argent à l’Exposition de 1844, section des Inventeurs non constructeurs, attribuée à M. Grouvelle, à Paris, rue du Regard 19. M. Grouvelle a présenté à l’exposition des objets très
divers...
(Exposition 1844, Rapport
général, p. 955) ; non mentionné en 1849. Ses installations de la prison Mazas, de celle de
Provins et de l’église Saint-Roch sont présentées et analysées par Claudel (Tables, 1857, p.
442-447) et Péclet (Nouveaux documents
relatifs au chauffage et à la ventilation des établissements publics, Paris,
Hachette, 1853). Membre, dès sa fondation en 1848, de la Société centrale des
ingénieurs civils, dont il intègre le Comité en 1849 : domicilié alors au 24 rue Racine, il est attesté au 5 rue de la Sorbonne par la liste des membres de 1851. Un habile ingénieur, M. Grouvelle, a cherché à donner au chauffage, par la
circulation de la vapeur, la stabilité qui lui manque en la faisant passer, au
moyen d’un serpentin, à travers des poêles plus ou moins remplis d’eau, dont la
densité et la capacité pour la chaleur apportent ainsi un obstacle à des
variations trop rapides de la température
(Arthur Morin, Études sur la
ventilation, Paris, Hachette, 1863, p.
70-71). Grouvelle Philippe, né à Copenhague en 1799, ingénieur civil et entrepreneur
de chauffage ; de la maison Grouvelle père et fils aîné, rue Saint-Thomas d’Enfer 7 ; chauffage à eau et à vapeur, ventilation en contrebas ; fours à noirs ; travaux de mécanique et d’hydraulique ; prix et médaille d’or de la Société
d’encouragement ; mention honorable de l’Académie des sciences ; plusieurs médailles aux Expositions ; ancien membre de la commission centrale
des chemins de fer, etc. Auteur du Guide du
chauffeur, 4e édition
(Téchener 1861,
p. 84). Voir aussi : Duvoir.
Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 151 verso.
Guérard, Michel (1808-1888)
Professeur et grammairien, normalien (1828) ; reçu premier à
l’agrégation de grammaire, nommé professeur au collège Saint-Louis (1831) ; maître de
conférences (1835) puis préfet des études au collège Sainte-Barbe ; directeur du petit collège de
Sainte-Barbe-des-Champs à Fontenay-aux-Roses (1866-1882) ; auteur de publications
scolaires (Vapereau
1880 ; DBF). Rue de La Rochefoucauld 8
(Almanach 1846,
p. 788).
Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 156 verso.
Guérin
Commis (comptable ?) de Léon Duvoir.
Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 170 verso.
Guillemot
Commissaire-vérificateur, service extraordinaire, rue de l’Odéon no 33
(Almanach 1843,
p. 827). Guillemot, vérificateur
(Annuaire 1845-1846,
Liste des architectes-experts commis le plus ordinairement par les
tribunaux dans le ressort de la Cour royale de Paris, p. 327). Contrôleur des travaux de Paris à la Direction des monuments publics (Sageret 1841,
p. 244). Co-responsable du second bureau de la
division des Bâtiments civils au ministère des Travaux
publics, chef du Contrôle : révision des devis et des mémoires des travaux, examen des
réclamations des entrepreneurs ; liquidation des dépenses ; tenue des écritures
relatives à la situation des crédits attribués aux constructions et aux ouvrages
d’entretien.
(Almanach 1843,
p. 165) ; attributions du même bureau en 1850 : Révision des devis et des mémoires des travaux ; fixation des prix de base
qui doivent servir au règlement des comptes ; examen des réclamations des
entrepreneurs ; des dépenses ; tenue des écritures relatives à la situation des
crédits attribués aux constructions et aux ouvrages d’entretien, régularisation
des honoraires des architectes et des appointements de tous les agens
du service.
(Almanach 1848-1850,
p. 140). Préfecture du département de la Seine, Bureau de
vérification et de règlement. Ce bureau est chargé de vérifier tous les travaux
d’architecture exécutés par adjudication ou sur soumission, et ceux faits par
économie, ainsi que les factures de toutes les fournitures faites aux
établissements départementaux et communaux ; de régler les prix portés auxdits
mémoires et factures par les entrepreneurs ou fournisseurs. Une commission de
révision, faisant partie du bureau, révise le travail des vérificateurs.
Commissaires-vérificateurs, Service extraordinaire : [...] M.
Guillemot, rue de l’Odéon 33.
(Almanach 1843,
p. 831).
Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 7, 8, 8 verso, 14, 22 verso, 27, 28, 48, 56, 56 verso, 57 verso, 58, 59, 68, 74 verso, 76 verso, 79, 79 verso, 80, 84 verso, 88 verso, 92, 96 verso, 97, 100 verso, 104, 114, 114 verso, 121, 122 verso, 123, 127, 134, 139, 151, 159, 170 verso, 172, 177, 178, 179.