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Bibliothèque virtuelle Henri Labrouste

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Hachette, Amédée Barthélemy (1811-1886)

Ingénieur, ancien élève de Polytechnique (1831) puis des Ponts et chaussées (1833) ; attaché au service du Pavé et des boulevards à Paris (1839-1844) puis à diverses administrations ferroviaires ; inspecteur général des Ponts et chaussées en 1871 ; successeur de Monge à la chaire de Géométrie descriptive à l’École polytechnique et à l’École normale ; fondateur de la Société historique et archéologique de Château-Thierry (DBF ; Dict. techn.). Rue de Condé 15 (Sageret 1841, p. 88). Ingénieur ordinaire du Pavé rue des Poules 4 (Almanach 1843, p. 830). Géomètre, rue Singer-Passy 36 (Bellier 1861).

Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 20 verso, 21, 31.

Hardi

Autre(s) forme(s) du nom : Hardy

Hardy, jardinier au Luxembourg (Cambon 1841, p. 224). Hardy, du jardin du Luxembourg, r. d’Enfer 12 (Sageret 1841, rubrique Marchands d’arbres et d’arbustes, jardiniers-pépiniéristes, horticulteurs et rocailleurs, p. 3). Jardinier en chef, service des Bâtiments et jardins du Sénat, palais du Luxembourg (Almanach 1852, p. 57).

Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 173.

Haret

Autre(s) forme(s) du nom : Harète

Entrepreneur de menuiserie ; Haret, rue du Croissant 10 (Sageret 1841, p. 112) ; également cité sous la rubrique Ebénistes, fabricants de meubles (Cambon 1841, p. 531) ; actif sur le chantier du Louvre, 1859-1861  (Isselin)  ; menuisier rue de Bruxelles  quartier Saint-Georges, emploie 200 ouvriers et une machine à vapeur de 25 chevaux. (Daumas, p. 155) ; Haret Pierre-Jean-Louis, né en 1814, menuisier, rue de Bruxelles 10 ; ancienne maison Leleu frères (Téchener 1861, p. 89).

Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 78 verso.

Haro, Étienne François (1827-1897)

https://www.idref.fr/151121826

Portraitiste, élève et ami puis marchand d’Ingres et Delacroix ; restaurateur des tableaux du palais des Tuileries et du ministère des Travaux publics (Bellier 1882 ; DBF ; Bénézit). "Au génie des arts", Haro, marchand de couleurs et restaurateur de tableaux, neveu et élève de M. Rey, rue des Petits Augustins no 26 faubourg Saint Germain, ci-devant rue du Colombier à Paris (Base Palissy). Attesté sur le chantier du Louvre en 1859 et 1861 (Isselin). Couleurs, Petits-Augustins 26 (Cambon 1841, p. 224). Installé rue des Petits-Augustins no 26. La maison Haro compte près d’un siècle d’existence de père en fils. M. Haro fils expose pour la première fois, et pour son début présente à l’examen du jury des toiles préparées pour la peinture à l’huile. [...]La souplesse, la solidité de ces toiles, cette invention enfin est d’une importance majeure pour l’avenir des tableaux. [...]Outre ces toiles, le vernis de M. Haro nous a paru bien supérieur aux autres et sèche à fond en peu de temps. (Exposition 1849, III, p. 550 : médaille d’argent). Haro fils, rue Bonaparte 20 (Bellier 1861).

Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 176, 176 verso, 177 verso, 178 verso, 179.

Henri-IV (collège)

Ancienne abbaye Sainte-Geneviève, devenue bien national en 1790 ; affecté à l’instruction publique sous les vocables successifs d’École centrale du Panthéon (1796), puis de lycée Napoléon (1804), rebaptisé par la Restauration collège Henri-IV, il avait depuis la Révolution conservé dans ses murs l’ancienne bibliothèque des chanoines. Le conflit développé au fil du temps entre ces deux fonctions déboucha sur la décision de confier à Labrouste, en 1838, l’étude préalable à la construction d’un nouveau bâtiment. Les collections les plus précieuses y furent maintenues durant toute la durée du chantier. Le reste fut dès 1842 déplacé dans une partie de Montaigu afin d’y rester accessible au public dans l’intervalle (Lazare, p. 281-283).

Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 16 verso, 33 verso, 59 verso.

Cité(e) dans les notes de l'édition du Journal des travaux au(x) folio(s) : 16 verso.

Hermel (?-mars 1849)

Chef du bureau de l’exécution des travaux à la division des Bâtiments civils du ministère des Travaux publics. Attributions de ce premier bureau : étude et rédaction des projets de construction des édifices publics à la charge de l’État ; surveillance des travaux neufs et des travaux d’entretien ; personnel des architectes, inspecteurs et autres agens du service des travaux (Almanach 1843, p. 165).

Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 31 verso, 59 verso, 73 verso, 76 verso, 96 verso, 104 verso, 107, 121, 132 verso, 148.

Héronville

Héronville, de la Ville, rue Saint-Antoine 205 (Sageret 1841, rubrique  Ingénieurs-géomètres, p. 85) ; Hérouville, rue Neuve-Saint-Paul 2 (Cambon 1841, p. 570).

Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 31, 36 verso.

Hittorff, Jacques Ignace (1792-1867)

https://www.idref.fr/027644510

Architecte d’origine allemande, naturalisé français ; formé par Percier aux Beaux-arts ainsi que par Bélanger, auquel il succède en tant qu’architecte des fêtes et cérémonies royales (1818) ; spécialiste de la polychromie des temples grecs ; architecte de la Ville et du gouvernement (1830) ; réalisa notamment l’église Saint-Vincent-de-Paul (1824-1844), l’aménagement de la place de la Concorde (1835-1840) puis des Champs-Élysées (1841), la mairie du douzième - actuel cinquième - arrondissement (1847-1850), le Cirque d’hiver (1852), les hôtels de la place de l’Étoile (1854) et la seconde gare du Nord (1861-1864) ; membre (1853) puis président (1867) de l’Académie des beaux-arts (Dezobry ; DBF). Rue Coquenard 40 (Annuaire 1845-1846, Liste des membres de la Société centrale, p. 318).

Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 140.

Hittorff, Charles

Fils du précédent, membre actif de son agence (cf. Hittorff, p. 272). Conducteur de Grisart pour la caserne des Petits-Pères en 1852 (Almanach 1852, p. 873).

Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 140.

Hôtel-Dieu

Parvis Notre-Dame. On reçoit dans cette maison les blessés et les malades, à l’exception des enfants, des incurables, des fous, des femmes en couches et des individus attaqués de maladies vénériennes ou chroniques. Cet hôpital est desservi par les dames religieuses de Saint-Augustin. (Almanach 1843, p. 1007).

Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 10 verso, 60 verso, 98, 186.

Hurel (?-1848)

Fournisseur de terre cuite à Montrouge.

Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 128, 131 verso, 132, 132 verso.

Cité(e) dans les notes de l'édition du Journal des travaux au(x) folio(s) : 124.

Hurel

Fils ou frère du précédent, auquel il succède en 1848 en tant que potier à Montrouge.

Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 140.

Hurquin

Sic pour A. Hurpin ou G. Hennequin, sculpteurs ornemanistes actifs au Louvre aux côtés de Duban puis de 1853 à 1861 (Duban ; Isselin) ? Ou Huguenin, rue des Ursulines, 6 (Annuaire 1845-1846, Liste des sculpteurs-statuaires, p. 334) ? Ou Victor Huguenin (1802-1860), lui aussi attesté au Louvre (Base Arcade), rue Saint-Jacques 236 (Annuaire 1845-1846, Liste des sculpteurs-statuaires, p. 335) ?

Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 134 verso.