7.
Juillet 1847
1er juilletJeudi. L’installation du nouveau bureau est à peu près
complète.
M. Violet vient à 3 h et
m’annonce qu’il a la
pierre de Châtillon1nécessaire pour quatre piles
sur les 16 demandées au 1er étage.
Il me promet que demain elle arrivera sur le
chantier.
2 juilletÀ la fin de la journée M. Violet envoie la pierre de Châtillon pour les piles du 1er étage. J’adresse à M. Monneau le registre des attachements de serrurerie de 1846, sur sa demande et d’après l’avis de M. Guillemot.
3 juilletLe bureau est complètement installé. M. Violet vient au bureau. Je lui demande la suite de la pierre de Châtillon pour les piles du 1er étage. Et je lui demande par écrit les marches de l’escalier en liais, 38 marches de 2,70 m.
4 juilletDimanche
5 juilletJe fais porter au ministère le rapport du mois de juin. On commence à scier la pierre de Châtillon destinée aux piles isolées sous les colonnes en fonte au 1er étage.
6 juilletOn continue les pierres des piles isolées.
7 juilletDans la journée le feu prend au bitume que M. Roussel fait fondre pour couvrir son atelier ; ce feu produit une fumée noire et épaisse qui attire beaucoup de monde. Nous prenons quelques précautions et le feu est éteint. M. Carteaux vient pour Barrot qu’il trouve très malade ; il le saigne et exige qu’il se présente à l’hôpital.
8 juilletJe vais à Saint-Firmin. Barrot n’est pas admis à l’hôpital, il n’y a pas de place.
2 juilletÀ la fin de la journée M. Violet envoie la pierre de Châtillon pour les piles du 1er étage. J’adresse à M. Monneau le registre des attachements de serrurerie de 1846, sur sa demande et d’après l’avis de M. Guillemot.
3 juilletLe bureau est complètement installé. M. Violet vient au bureau. Je lui demande la suite de la pierre de Châtillon pour les piles du 1er étage. Et je lui demande par écrit les marches de l’escalier en liais, 38 marches de 2,70 m.
4 juilletDimanche
5 juilletJe fais porter au ministère le rapport du mois de juin. On commence à scier la pierre de Châtillon destinée aux piles isolées sous les colonnes en fonte au 1er étage.
6 juilletOn continue les pierres des piles isolées.
7 juilletDans la journée le feu prend au bitume que M. Roussel fait fondre pour couvrir son atelier ; ce feu produit une fumée noire et épaisse qui attire beaucoup de monde. Nous prenons quelques précautions et le feu est éteint. M. Carteaux vient pour Barrot qu’il trouve très malade ; il le saigne et exige qu’il se présente à l’hôpital.
8 juilletJe vais à Saint-Firmin. Barrot n’est pas admis à l’hôpital, il n’y a pas de place.