Jean-Hubert (rue)
Ancienne rue des Chiens, qui bordait au sud l’ancien collège Sainte-Barbe et reliait les rues
des Cholets et des Sept-Voies. Renommée en 1806
d’après celui que l’on considérait alors comme le fondateur du collège Sainte-Barbe,
elle fut rachetée par l’État à la Ville en prévision de la construction de la nouvelle
bibliothèque, puis recédée au collège
Sainte-Barbe en échange du terrain où fut finalement construit le bâtiment
d’administration, sur l’ancien collège de Marly. Elle
sera absorbée lors des travaux conjoints de Sainte-Barbe et de Sainte-Geneviève : La rue Jean-Hubert a été supprimée en février 1844, et le sol de cette rue
est réuni en partie à l’emplacement sur lequel on doit construire la bibliothèque
Sainte-Geneviève
(Lazare,
p. 683).
Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 2, 4 verso, 6, 6 verso, 7, 7 verso, 8, 9, 10, 10 verso, 11, 11 verso, 18, 20, 22, 22 verso, 23, 24, 25, 28 verso, 29, 35, 40, 54, 89.
Cité(e) dans les notes de l'édition du Journal des travaux au(x) folio(s) : 18.
Jeanne
Jeanne, architecte entrepreneur rue du Faubourg Saint-Denis 168
(Sageret 1841,
p. 98). Conducteur aux travaux du ministère des Affaires
étrangères
sous la direction de Jacques Lacornée, rue de l’Université 118
(Annuaire 1845-1846,
Liste des membres de la Société centrale, p. 318).
Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 79.
Jenvrin (aîné) (?-1843)
Rue du Figuier Saint-Paul 14
(Sageret 1841,
rubrique Couvreurs, p. 56) ; Jenvrin, rue Pavée 2
(ibidem,
p. 112) ; Jenvrin jeune, rue Pavée du Marais 6
(Cambon 1841,
rubrique Menuisiers, p. 642).
Cité(e) dans le Journal des travaux au(x) folio(s) : 6.