1. Sainte-Barbe ne reverra jamais
une solennité pareille à celle du 11 août 1848. Douze des anciens
élèves, portant à leur boutonnière la cocarde de représentant du
peuple, vinrent honorer de leur présence le couronnement des jeunes
lauréats de l’année. On voyait dans le nombre plusieurs ministres
futurs de la République ; on y voyait le chef du pouvoir exécutif,
le vertueux général Cavaignac, vers lequel se dirigeaient en ce
moment les bénédictions de la France entière.
(J.
Quicherat, Histoire de
Sainte-Barbe, collège, communauté, institution,
Paris, Hachette, 1864, vol. III, p.
296).
2. Sic pour Léon Salleron, élève de Duban [Duban p. 224] ? Ou pour André Châtillon, attaché au service d’architecture de la préfecture de la Seine, co- fondateur de la Société centrale en 1840 ? Un certain « Challelon » signe un article portant sur les combustibles industriels dans les Mémoires et comptes rendus des travaux de la société des ingénieurs-civils, janvier-mars 1863, p. 555.