25 septembreOn continue le béton,
etc. À 1 h j’ai été à la Ville pour l’adjudication1.
M. Georges a été déclaré
adjudicataire avec un rabais de 15 %. En sortant j’ai été au ministère avec
M. Hermel
pour assister à une commission de l’adjudication du
comble de Saint-Denis, faisant partie de cette commission2. Je suis revenu aux travaux à 4 h.
M. Georges adjudicataire
était venu pendant mon absence m’a-t-on dit.
26 septembreOn commence la pose des libages sur le mur de refend à l’ouest au sol des caves. On continue le béton, etc.
27 septembreOn continue comme la veille.
28 septembreOn continue. Le libage sur le mur de refend à l’ouest est posé à l’exception d’un morceau. Il y a peu d’ouvriers, on ne fait presque rien.
29 septembreDimanche. Il a plu le matin, on ne fait presque rien. M. Lefaure a renvoyé les bardeurs et poseurs parce qu’il n’y a pas de pierres préparées.
30 septembreOn continue lentement. Il n’y a pas de chaux, on est obligé de suspendre la limousinerie. À 10 h les charpentiers, d’après l’ordre de M. Lefaure le jeune, déposent les étais dans la fouille du mur de refend vers l’ouest et le nord. Ils me paraissent s’y prendre imprudemment et j’en fais part au maître-compagnon. Un instant après, les étais, desserrés par les terres éboulées au fond de la fouille, lâchent et un éboulement de cette partie des terres devient imminent. Je fais sortir les ouvriers qui travaillaient au fond de la fouille : il y avait danger. M. Lefaure vient à midi et prend quelques dispositions pour arrêter les éboulements. Mais on n’a pas fait de maçonnerie de la journée.
26 septembreOn commence la pose des libages sur le mur de refend à l’ouest au sol des caves. On continue le béton, etc.
27 septembreOn continue comme la veille.
28 septembreOn continue. Le libage sur le mur de refend à l’ouest est posé à l’exception d’un morceau. Il y a peu d’ouvriers, on ne fait presque rien.
29 septembreDimanche. Il a plu le matin, on ne fait presque rien. M. Lefaure a renvoyé les bardeurs et poseurs parce qu’il n’y a pas de pierres préparées.
30 septembreOn continue lentement. Il n’y a pas de chaux, on est obligé de suspendre la limousinerie. À 10 h les charpentiers, d’après l’ordre de M. Lefaure le jeune, déposent les étais dans la fouille du mur de refend vers l’ouest et le nord. Ils me paraissent s’y prendre imprudemment et j’en fais part au maître-compagnon. Un instant après, les étais, desserrés par les terres éboulées au fond de la fouille, lâchent et un éboulement de cette partie des terres devient imminent. Je fais sortir les ouvriers qui travaillaient au fond de la fouille : il y avait danger. M. Lefaure vient à midi et prend quelques dispositions pour arrêter les éboulements. Mais on n’a pas fait de maçonnerie de la journée.