11 septembreOn trouve le fond du nouveau puisard sous l’escalier à
1 mètre
de profondeur. Le terrassier blessé la veille revient
travailler. Je fais déposer les libages dans l’axe à la
rencontre du mur de refend à l’ouest parce qu’ils sont
mal posés. À 1 heure adjudication à la
Ville. J’y
ai été avec M. Miller. Il
y a 18 soumissions. Le plus fort rabais est 5,25 % par M. Leloir1.
L’adjudication
est déclarée nulle parce que ce plus
fort rabais n’atteint pas le minimum fixé par M. le Ministre (7 %)2.
12 septembreOn commence à descendre le béton sous le mur de refend dans l’escalier. On continue comme la veille. M. Georges, qui a commencé un peu sérieusement la démolition de sa maison la veille, la continue. J’ai vu ce matin M. Lelong avoué3.
13 septembreOn continue comme la veille. J’ai écrit à M. Georges pour qu’il ait à faire enlever les moellons entoisés sur le terrain de la maison démolie du n°6, appartenant à l’État ; et à M. Lefaure de faire établir une clôture sur la place du Panthéon. Je donne l’ordre au gardien de ne laisser s’établir ni entrer personne sur ce terrain.
14 septembreOn continue. M. Lefaure prépare la barrière sur la place du Panthéon. J’ai autorisé M. Olivier démolisseur du n°4 à se servir du terrain du n°6 pour faciliter sa démolition, mais non pour y mettre des matériaux en dépôt. M. Georges est venu à 5 h ; nous avons réglé la démolition des murs mitoyens.
15 septembreDimanche. On continue. Comme la veille. On est sous le libage général sur le mur de refend au couchant.
16 septembreOn continue. Dès le matin on a apporté de la chaux de La Gare au lieu de chaux de Pantin précédemment employée. Cela m’est signalé par Champigneulle et M. Miller ; et j’ai écrit à M. Lefaure de fournir comme par le passé de la chaux de Pantin, et que j’avais défendu l’emploi de la chaux de La Gare.
12 septembreOn commence à descendre le béton sous le mur de refend dans l’escalier. On continue comme la veille. M. Georges, qui a commencé un peu sérieusement la démolition de sa maison la veille, la continue. J’ai vu ce matin M. Lelong avoué3.
13 septembreOn continue comme la veille. J’ai écrit à M. Georges pour qu’il ait à faire enlever les moellons entoisés sur le terrain de la maison démolie du n°6, appartenant à l’État ; et à M. Lefaure de faire établir une clôture sur la place du Panthéon. Je donne l’ordre au gardien de ne laisser s’établir ni entrer personne sur ce terrain.
14 septembreOn continue. M. Lefaure prépare la barrière sur la place du Panthéon. J’ai autorisé M. Olivier démolisseur du n°4 à se servir du terrain du n°6 pour faciliter sa démolition, mais non pour y mettre des matériaux en dépôt. M. Georges est venu à 5 h ; nous avons réglé la démolition des murs mitoyens.
15 septembreDimanche. On continue. Comme la veille. On est sous le libage général sur le mur de refend au couchant.
16 septembreOn continue. Dès le matin on a apporté de la chaux de La Gare au lieu de chaux de Pantin précédemment employée. Cela m’est signalé par Champigneulle et M. Miller ; et j’ai écrit à M. Lefaure de fournir comme par le passé de la chaux de Pantin, et que j’avais défendu l’emploi de la chaux de La Gare.