[...] Il a employé
à cela un nouveau poseur fort adroit et expéditif. Je
pense qu’en faisant ficher les pierres malgré ma
défense, M. Lefaure
voulait dissimuler le lit de dessous qui faisait
refuser les pierres et obtenir de l’inspecteur général plus d’indulgence pour un
travail entièrement terminé. Cependant,
M. Caristie
est venu à 12 h et
demie
et, en présence de
M. Lefaure,
il a tout examiné et ordonné de déposer et remplacer 12
morceaux. Après le départ
de M. Caristie,
j’ai constaté par écrit avec le frère de
M. Lefaure et en son
absence les morceaux désignés par l’inspecteur général.
26 juinOn n’a rien fait. Je me suis plaint de ce que la terrasse n’allait pas. J’ai écrit à M. Lefaure pour lui indiquer de nouveau par écrit les pierres désignées par M. l’Inspecteur général pour être déposées.
27 juinOn continue à ne rien faire. M. Lefaure m’a remis une lettre où il déclare qu’il ne peut fournir de la pierre de 0,58 m que si on la lui paye comme si elle avait 0,65 m ; et que si je continue à être aussi sévère que par le passé il lui est impossible de me contenter. J’ai été à la Direction1 ; je n’ai vu M. de Noüe qu’un instant. J’ai répondu à M. Lefaure que je ne pouvais prendre les engagements qu’il me proposait, ni recevoir de lui des conditions et que j’allais envoyer sa lettre au ministre.
28 juinOn continue à ne rien faire. M. Lefaure a déposé à mon bureau le mémoire de mai. Les attachements ne sont pas complets.
29 juinOn ne fait rien en pierre ni en maçonnerie. On continue la terrasse. On ne voit pas M. Lefaure.
30 juinDimanche. On continue la terrasse et on commence à sciotter les pierres à déposer. Aucune pierre n’est présentée pour les remplacer.
26 juinOn n’a rien fait. Je me suis plaint de ce que la terrasse n’allait pas. J’ai écrit à M. Lefaure pour lui indiquer de nouveau par écrit les pierres désignées par M. l’Inspecteur général pour être déposées.
27 juinOn continue à ne rien faire. M. Lefaure m’a remis une lettre où il déclare qu’il ne peut fournir de la pierre de 0,58 m que si on la lui paye comme si elle avait 0,65 m ; et que si je continue à être aussi sévère que par le passé il lui est impossible de me contenter. J’ai été à la Direction1 ; je n’ai vu M. de Noüe qu’un instant. J’ai répondu à M. Lefaure que je ne pouvais prendre les engagements qu’il me proposait, ni recevoir de lui des conditions et que j’allais envoyer sa lettre au ministre.
28 juinOn continue à ne rien faire. M. Lefaure a déposé à mon bureau le mémoire de mai. Les attachements ne sont pas complets.
29 juinOn ne fait rien en pierre ni en maçonnerie. On continue la terrasse. On ne voit pas M. Lefaure.
30 juinDimanche. On continue la terrasse et on commence à sciotter les pierres à déposer. Aucune pierre n’est présentée pour les remplacer.